Rewarding regulation involves pursuing the complex goal of bringing labor protection and firms’ economic performance together. A central element in achieving such goals refers to how regulatory bureaucracies operate. This paper examines the organizational structures, processes, and internal dynamics that allow regulatory bureaucracies to innovate and meet such developmental challenges. It reviews well-established interpretations about state bureaucracies that have emphasized either hierarchical structures and control processes or discretion and disperse individual behaviors. In addition, it suggests alternative analytical paths for combining (...) flexibility and control by examining the relational processes and dynamics within bureaucracies. The analysis of the Brazilian Labor Inspectorate, based on qualitative data and extensive fieldwork, and of other empirical examples from the literature, indicates that internal tensions and conflicts instigate a process of technical vigilance between members of the same bureaucracy, inducing innovation and responsible uses of discretion. (shrink)

L’article explore les liens entre l’impermanence, la pensée bouddhique et taoïste, et l’esthétique Wabi-Sabi, en soulignant le concept unificateur du mouvement et son rôle dans l’illustration de la fluidité et de la transformation de la vie. L’analyse porte sur la manière dont le mouvement fonctionne comme un principe unificateur, mettant en évidence la fluidité, la transformation et la croissance qui caractérisent l’existence. Cette perspective s’appuie sur les principes taoïstes et bouddhistes, qui insistent sur l’acceptation de la réalité dans sa forme (...) la plus authentique et le détachement des attaches matérielles—révélant ainsi la beauté de l’imperfection et de la simplicité. En adoptant ce point de vue, nous sommes incités à nous engager pleinement dans notre environnement, à valoriser le caractère transitoire de chaque instant et à accueillir le changement comme une s o u r c e d e transformation. (shrink)

he study revisits "civilization" in the context of globalization, analyzing its applicability and potential to mask cultural differences. It specifically contrasts the Western n o t i o n , a n c h o r e d i n c i t i z e n s h i p a n d environmental mastery, with the ancient Chinese "wenming" that signifies enlightenment and social harmony. "Civilization" stresses progress of science and technology, along with the process of globalization. "Wenming" (...) draws from the Book of Chamges' principles, stressing the importance of ritual propriety and family over individualism, and "hé ér bù tóng" or "harmony without uniformity." This perspective promotes unity while respecting individuality. The research suggests that integrating ancient Chinese philosophy could enhance global cooperation by acknowledging the depth of cultural heritage and the importance of diverse societal values. (shrink)

This book assesses how Vatican II opened up the Catholic Church to encounter, dialogue, and engagement with other world religions. Opening with a contribution from the President of the Pontifical Council for Interreligious Dialogue, Cardinal Jean-Louis Tauran, it next explores the impact, relevance, and promise of the Declaration Nostra Aetate before turning to consider how Vatican II in general has influenced interfaith dialogue and the intellectual and comparative study of world religions in the postconciliar decades, as well as the contribution (...) of particular past and present thinkers to the formation of current interreligious and comparative theological methods. Additionally, chapters consider interreligious dialogue vis-à-vis theological anthropology in conciliar documents; openness to the spiritual practices of other faith traditions as a way of encouraging positive interreligious encounter; the role of lay and new ecclesial movements in interreligious dialogue; and the development of Monastic Interreligious Dialogue. Finally, it includes a range of perspectives on the fruits and future of Vatican’s II’s opening to particular faiths such as Judaism, Islam, Hinduism, and Buddhism. (shrink)

Le culte grandiose de Kali, la Mère, son incomparable symbolisme, ses litanies et ses chants, embrasse l'âme de l'univers qu'il glorifie comme aucune conception religieuse ne le fit jamais. La terrifiante déesse sème la peste et les pires ravages sur ses pas, tout en accordant sa grâce et sa clémence à ses enfants assez hardis pour soulever l'horrible masque derrière lequel elle se cache la figure. Ceux-là retrouveront les traits radieux qui ont enchanté leur enfance. La sublime conception de (...) Kali, la Mère, découle d'une philosophie moniste qui s'écarte pourtant sensiblement de la philosophie Védanta de Shankara. Tous deux partent, il est vrai, de la même idée. Ils admettent l'un et l'autre une substance une, indivisible et éternelle, que les Védantins appellent Brahma et les adorateurs de Kali, la Mère, Siva. Mais il y a divergence quant aux manifestations. Pour Shankara il n'y a qu'illusion. Il tranche le lien qui rattache le phénomène à l'absolu. Il se demande qui a pu susciter l'apparence. Mais, l'absolu étant la vérité même, il n'a pu engendrer l'apparence pas plus que la lumière n'aurait pu engendrer l'obscurité. Qu'y avait-il donc de commun entre les Brahmas et Maya? A première vue il semble qu'il n'y a aucun rapport. Pour Shankara il n'était besoin d'aucune relation, puisque Maya n'existe pas en réalité et que le monde n'est que mirage. Le monde n'existe que pour l'esprit qui est lui-même sujet aux hallucinations. Adorer la Mère, c'est accepter l'univers dans ses aspects les plus terrifiants. Cette philosophie est diamétralement opposée au christianisme dans son culte du Dieu d'amour, du Père plein de miséricorde. Le christianisme enseigne que tout se fait pour notre bien, tandis que pour les adorateurs de Kali, l'univers est féroce et hostile à l'homme, qui avant tout doit se montrer supérieur aux événements. Mais Kali n'est pas seulement la destructrice. Si elle démolit inexorablement toutes les formes vitales qui ont fait leur temps et qui se détériorent, elle en crée au fur et à mesure des nouvelles. C'est dans cette conception de la Mère qu'il faut chercher tout d'abord le mystère de l'esprit indien. Dans son essence la plus intime la mère du monde est l'absolu, est Siva même. Comme telle elle représente la connaissance, l'entité et la joie absolues. Pour les adorateurs de Kali les mots Mantram Saham (je suis elle) renferment la clef de la vie et dissipent crainte et tristesse. (shrink)

Le culte grandiose de Kali, la Mère, son incomparable symbolisme, ses litanies et ses chants, embrasse l'âme de l'univers qu'il glorifie comme aucune conception religieuse ne le fit jamais. La terrifiante déesse sème la peste et les pires ravages sur ses pas, tout en accordant sa grâce et sa clémence à ses enfants assez hardis pour soulever l'horrible masque derrière lequel elle se cache la figure. Ceux-là retrouveront les traits radieux qui ont enchanté leur enfance. La sublime conception de (...) Kali, la Mère, découle d'une philosophie moniste qui s'écarte pourtant sensiblement de la philosophie Védanta de Shankara. Tous deux partent, il est vrai, de la même idée. Ils admettent l'un et l'autre une substance une, indivisible et éternelle, que les Védantins appellent Brahma et les adorateurs de Kali, la Mère, Siva. Mais il y a divergence quant aux manifestations. Pour Shankara il n'y a qu'illusion. Il tranche le lien qui rattache le phénomène à l'absolu. Il se demande qui a pu susciter l'apparence. Mais, l'absolu étant la vérité même, il n'a pu engendrer l'apparence pas plus que la lumière n'aurait pu engendrer l'obscurité. Qu'y avait-il donc de commun entre les Brahmas et Maya? A première vue il semble qu'il n'y a aucun rapport. Pour Shankara il n'était besoin d'aucune relation, puisque Maya n'existe pas en réalité et que le monde n'est que mirage. Le monde n'existe que pour l'esprit qui est lui-même sujet aux hallucinations. Adorer la Mère, c'est accepter l'univers dans ses aspects les plus terrifiants. Cette philosophie est diamétralement opposée au christianisme dans son culte du Dieu d'amour, du Père plein de miséricorde. Le christianisme enseigne que tout se fait pour notre bien, tandis que pour les adorateurs de Kali, l'univers est féroce et hostile à l'homme, qui avant tout doit se montrer supérieur aux événements. Mais Kali n'est pas seulement la destructrice. Si elle démolit inexorablement toutes les formes vitales qui ont fait leur temps et qui se détériorent, elle en crée au fur et à mesure des nouvelles. C'est dans cette conception de la Mère qu'il faut chercher tout d'abord le mystère de l'esprit indien. Dans son essence la plus intime la mère du monde est l'absolu, est Siva même. Comme telle elle représente la connaissance, l'entité et la joie absolues. Pour les adorateurs de Kali les mots Mantram Saham (je suis elle) renferment la clef de la vie et dissipent crainte et tristesse. (shrink)

En su conferencia de 1944 sobre Filosofía y Política Ernst Cassirer expone algo que será retomado por El mito del Estado y preside buena parte de su obra. La filosofía debe rendir cuentas en cuanto responsable indirecta de ciertos climas políticos, tal como sucedió con ciertos pensadores que propiciaron la consolidación del nazismo. Las crisis de pensamiento pueden generar convulsiones políticas o sociales, porque se da una continua dialéctica entre pensadores y hombres de acción, entre las ideas y los hechos, (...) en definitiva, entre la teoría y la práctica. Los grandes problemas histórico-políticos no pueden resolverse sin atender a las cuestiones fundamentales abordadas desde una perspectiva filosófica, toda vez que se da una insoslayable interacción entre la estructura de las ideas y la configuración de nuestra realidad político-social. El debate de Davos, La idea de la constitución republicana, El problema Jean-Jacques Rousseau y Filosofía Moral, Derecho y Metafísica: Un diálogo con Axel Hägerstrom sirven para ilustrar esta tesis que hace suya el autor del artículo, que también lo es de La quimera del Rey Filósofo. (shrink)

Tocqueville y sus reflexiones en torno a los avatares de la democracia cobran una inusitada vigencia con las movilizaciones generada por el espíritu del 15M. Como cualquier otro clásico que se precie de merecer tal nombre, sus escritos aciertan a la hora de plantear los problemas y suscitar diagnósticos que no han perdido su capacidad para hacernos repensar las reglas del juego democrático. Siguiendo el paradójico destino de su bisabuelo Malesherbes, quien defendió los derechos del pueblo ante Luis XVI y (...) luego a éste frente al tribunal revolucionario, el aristocrático Tocqueville se convertiría en un paladín de la imparable revolución democrática, sin dejar de analizar los potenciales peligros entrañados por ésta. Su comparación entre las revoluciones americana y francesa le serviría para definir a los atributos del homo democraticus. El texto pretende servir de presentación a los materiales recogidos en este número. (shrink)

Si no estoy equivocado, nuestro acervo cultural nos hace asociar casi automáticamente a la culpa con un concepto religioso, de raigambre judeocristiana para ser más precisos, mientras que al mismo tiempo tiende a identificar la responsabilidad con una categoría eminentemente jurídica. La culpa se presenta como algo estrechamente vinculado con el pecado y la religión o, a lo sumo, con el psicoanálisis, en tanto que la responsabilidad suele circunscribirse de oficio al ámbito del derecho penal o relacionarse protocolariamente con la (...) esfera política. Sin embargo, aunque las palabras «culpa» y «responsabilidad» no se prodiguen demasiado en los diccionarios consagrados a la ética, sí constituyen conceptos claves de la reflexión moral. Mi propósito aquí es presentarlos como dimensiones o vertientes complementarias de nuestra conciencia. Desde luego, cualquiera puede asumir una determinada responsabilidad sin sentirse culpable y, a la inversa, siempre hay quien prefiere regodearse con su sentimiento de culpabilidad sin sentirse responsable por la causa del mismo, pero lo suyo es que ambas nociones vayan de consuno y la culpa sea un síntoma de responsabilidad o que atender a las propias responsabilidades ahuyente cualquier asomo de culpabilidad por nuestra parte. (shrink)

Aquí se presenta la primera traducción española del texto kantiano Sobre el mal radical tratado como el artículo que fue originalmente publicado en una revista y, por consiguiente, no tanto como el primer capítulo de La Religión dentro de los límites de la sola razón. Se intenta hacer ver que, tal como cuando trata el argumento moral sobre la existencia de Dios, Kant nos habla del ateo virtuoso como héroe moral de su formalismo ético, aquí la religión sólo sirve para (...) dibujar mejor los contornos de las piezas claves del pensamiento ético kantiano: la libertad y la responsabilidad o imputabilidad moral, que constituyen el auténtico credo kantiano y sólo se dejan asociar con una fe “reflexiva”. (shrink)

We trace here the layout of Cassirer’s intellectual itinerary, highlightning the growing political commitment in his thought as he faces the national socialist ideology from the vantage point of history of ideas and his philosophy of the symbolic forms, invoking in this sense the spirit of Enlightenment in general and Kant in a very particular way as well. Cassirer’s ideological rebuttal of Nazism begins in 1928 with his hommage to the Weimar Republic and reaches up to 1945 with The Myth (...) of State. Here however it is presented an interpretation of the dangerously moral meaning that Judaism had for the totalitarian ideology of National Socialism. (shrink)

The digital era provides quick access to a lot of data that is often poorly substantiated and frequently designed to disinform or deny evidence that is inconvenient to certain interests. The constant and continuous use of technological devices that provide instant gratification imbues us with a certain arrogance, as if we could fulfill all our desires by sliding our finger across a screen. This relentless immersion in virtual reality blurs the real facts, the veracity of which we come to distrust, (...) preferring the dogmatic and incontestable certainties provided by hoaxes and so-called “alternative facts”. Inhabiting this parallel reality makes us disregard our responsibility towards others. That is why we must vindicate the cultivation of philosophy and ethical reflection as antidotes to the philosopher’s stones offered to us by those who pretend to be soothsayers whose guidance will solve all our problems. As we want perennial and instant certainties, we distrust everyone and everything. Like uncertainty, other of our most human traits are precisely trust and responsibility. Without them we become dehumanized. (shrink)

Con su filosofía de las formas simbólicas Cassirer reflexiona sobre una infinitud inmanente que ya fue anunciada por el pensamiento kantiano. Los textos kantianos pueden ser leídos en clave simbólica, como sucede sin ir más lejos con su teoría de los postulados relativos a una existencia divina y un alma inmortal. El faktum de la razón, la libertad humana que reconocemos gracias a nuestra conciencia moral, nos permite franquear cualquier límite bajo la convicción de que podemos hacer cuanto nos dicte (...) autónomamente nuestro deber. Somos un animal simbólico cuyo universo ético y cultural nos permite transformar la realidad persiguiendo asintóticamente renovados horizontes utópicos. Como bien dice Cassirer en Hacia una metafísica de las formar simbólicas, es el futuro simbólico del ser humano lo que desborda los límites de su existencia finita. Esa es la razón de que Kant culmine toda su obra con una Metafísica de las costumbres. (shrink)

Se pretende resaltar aquí la veta kantiana que atraviesa el pensamiento de Javier Muguerza. Este hilo conductor se pondría de manifiesto sin ir más lejos en las tres «Críticas» muguerzianas, a saber: Crítica de la razón analítica, Crítica de la razón dialógica y Crítica de la razón onírica. Pero también cabe detectarlo en el denominado «imperativo de la disidencia», con que Muguerza quiere actualizar las tres versiones del imperativo categórico kantiano y que le hace apostar, finalmente, por un blochiano primado (...) de la utopía. En definitiva, todo ello acaba por invitarnos a replantear las célebres preguntas kantianas. Desde luego, a Javier Muguerza le interesan mucho más las cuestiones dejadas abiertas por Kant que sus respuestas, y hay que agradecerle que sepa traducirlas a las inquietudes filosóficas del presente. (shrink)

RESUMEN Así como Hume despertó a Kant del sueño dogmático y Rousseau le descubrió el mundo moral, Diderot le habría hecho acceder al universo de la política. El último Kant podría estar muy influido, sin saberlo, por el Diderot que convirtió la Historia de las dos Indias en la "Biblia de las revoluciones", así como por el de la Enciclopedia. Se defiende la tesis de que todo el proyecto ilustrado tendría una índole radical, y conviene matizar la distinción entre Ilustración (...) moderada e Ilustración radical, toda vez que los puntos en común parecen superar a las discrepancias. Spinoza y Heine podrían resultar útiles para enfatizar este parecer. ABSTRACT Just as Hume awoke Kant from his dogmatic slumber and Rousseau unveiled the moral world for him, Diderot may have introduced him to the universe of politics. Without knowing it, the mature Kant might have been quite influenced by both the Diderot who made the History of the Two Indies the "Bible of revolutions" and that of the Encyclopedia. The article defends the thesis that the entire Enlightenment project was a radical one and that it is convenient to downplay the distinction between moderate and radical Enlightenment, given that their commonalities seem to outweigh their differences. Spinoza and Heine could be useful in terms of highlighting this idea. (shrink)

We employ the support vector machine classifier, over different types of kernels, to investigate whether observable variables of individuals and their household information are able to describe their consumption decision of film at theaters in Brazil. Using a very big dataset of 340,000 individuals living in metropolitan areas of a whole large developing economy, we performed a Knowledge Discovery in Databases to classify the film consumers, which results in 80% instances correctly classified. To reduce the degrees of freedom for SVM (...) and to learn the more important determinants of film consumption, we apply the Linear Discriminant Analysis that allows us to identify the key determinants of this consumption. The main individual characteristics are age, education, income, and preferences for cultural goods. Regarding the main geographic characteristics, these are the timing of sample, population concentration, and supply of movie theaters. The results point to an ineffective policy for the sector at the time investigated. (shrink)